1. Le bois, naturel, renouvelable, recyclable
Le « matériau bois » est l’un des rares matériaux de construction à être à la fois naturel, renouvelable et recyclable. Mieux encore, il requiert peu de transformations et à ce titre, il consomme peu d’énergie et engendre peu de pollutions. Renouvelable, le bois l’est évidemment, mais à condition que les forêts d’où il est extrait soient durablement gérées et donc replantées, ce qui est majoritairement le cas avec les bois européens. Les labels PEFC et FSC attestent de cette gestion durable. Recyclable, enfin, car le bois peut être récupéré à des fins industrielles (fabrication de panneaux) ou énergétiques (utilisation comme combustible).
2. La lutte contre le changement climatique
Le « matériau bois » est l’un des rares matériaux de construction à être à la fois naturel, renouvelable et recyclable. Mieux encore, il requiert peu de transformations et à ce titre, il consomme peu d’énergie et engendre peu de pollutions. Renouvelable, le bois l’est évidemment, mais à condition que les forêts d’où il est extrait soient durablement gérées et donc replantées, ce qui est majoritairement le cas avec les bois européens. Les labels PEFC et FSC attestent de cette gestion durable. Recyclable, enfin, car le bois peut être récupéré à des fins industrielles (fabrication de panneaux) ou énergétiques (utilisation comme combustible).
3. Souplesse architecturale
Du point de vue de la conception, le bois autorise de nombreux styles. Les différentes manières de construire en bois (ossature bois, poteau-poutre, bois massif empilé ou panneaux…) déterminent à elles seules des types de constructions bois très diverses : depuis le chalet en madrier jusqu’à la maison à ossature bois d’architecture classique, en passant par le cube ultra-contemporain, la construction à structure apparente avec mur-rideau, les immeubles de grande hauteur… Tout un chacun peut trouver une construction bois qui lui corresponde, jouant la carte du bois ou oubliant tout bonnement la présence du matériau qui sait aussi se faire discret. Au-delà du type constructif, le matériau lui-même est particulièrement « souple ». Sa robustesse et sa légèreté permettent aux architectes une indéniable créativité.
4. Des techniques high-tech
Les métiers de la construction bois sont aujourd’hui des métiers de pointe et évoluent en permanence vers la haute technologie. Ainsi, après la conception, les plans d’un bâtiment sont validés par des bureaux d’études structure et thermique. Des ingénieurs calculeront et dimensionneront les bois de sorte à assurer une stabilité sans faille à la construction. Ces calculs sont ensuite transmis à des machines à commandes numériques qui découpent les sections au millimètre près. La phase de montage se déroule ensuite en général en atelier. Selon les constructeurs, structure pré-montée, pans de murs remplis, ou encore modules (en trois dimensions) sortiront des ateliers avant d’être assemblés sur chantier.
5. Un chantier rapide et propre
La construction bois n’exige pas d’eau, contrairement à la construction maçonnée. Outre un meilleur respect de l’environnement du fait de l’économie d’eau, le chantier « sec » résout les éventuels problèmes d’acheminement d’eau sur le site. L’absence de séchage réduit les délais de chantier. Enfin, les chantiers en construction bois sont réputés propres : un, parce qu’ils sont secs, deux, parce que les étapes de découpes et de montage sont le plus souvent réalisées en atelier. Il ne restera que l’assemblage à réaliser sur le terrain, puis le remplissage éventuel de la structure : donc des délais de chantier très courts. La préfabrication permet un contrôle qualité continu en usine.
6. Des constructions résistantes et durables
Une construction bois fait appel à de nombreux talents, calculs et connaissances. Réalisée dans les règles de l’art, elle pourra durer des siècles. Quelques unes de nos villes au patrimoine médiéval préservé, à l’image de Troyes, Rouen ou Strasbourg, sont là pour en témoigner. Ce, parce que les bois sélectionnés pour la construction présentent les caractéristiques de résistance nécessaires à ce rôle : soit ils sont naturellement durables, soit ils font l’objet de traitements. Cette durabilité, naturelle ou conférée par des traitements, leur permet de résister à l’humidité et aux éventuelles attaques de champignons ou d’insectes lignivores. Enfin, contrairement aux idées reçues, le bois a un comportement idéal face au feu : sa combustion est lente, régulière et prévisible. Là où, en cas d’incendie, une structure en acier se déforme et une construction maçonnée cède, une charpente en bois résiste toujours. Cette caractéristique mécanique alliée au faible dégagement de gaz toxiques lors d’un incendie, font du bois un matériau très sûr, même pour des établissements recevant du public.
7. Le bois, pour tous les budgets
Une maison en bois ne requiert pas de lourds travaux de fondations et les pièces légères peuvent être manu-portées et assemblées rapidement. Tout cela diminue les coûts liés à la main d’œuvre, aux matériaux et au matériel de chantier. Le coût de l’ossature proche de celui des autres types de constructions. La durée réduite du chantier permet d’éviter un investissement important dans un éventuel loyer. Par ailleurs, une maison en ossature bois permet une évolution dans le temps, par le biais d’extensions et de réaménagements dont les coûts sont sans commune mesure avec tout autre type de construction. On peut donc commencer avec une maison plus simple, à plus faible coût et la faire évoluer comme la famille qui l’occupe. À l’utilisation, la facture énergétique est réduite en raison de ses excellentes prestations. À la revente, le bâtiment obtient un excellent score en terme d’isolation, ce qui lui confère une valeur supplémentaire.
8. Pour concevoir une ville durable
D’ici à 2050, 80% des 70 millions de Français seront citadins. Pour limiter l’étalement urbain et l’artificialisation des sols, il faut densifier les villes, surélever les habitations, occuper les dents creuses, réhabiliter l’existant… autant d’utilisations où le bois apporte des solutions efficaces, rapides, responsables… et durables dans le temps. En France, une extension-surélévation sur cinq est réalisée en bois aujourd’hui ! La maison bois, plus encore la maison à ossature bois, est une maison qui peut facilement évoluer avec les besoins de la famille.
9. Adapté à la construction performante
Le bois pèse en moyenne 5 fois moins que le béton et 17 fois moins que l’acier. Il nécessite donc des fondations moins coûteuses et s’adapte à tout type de terrain. Il est 15 fois plus isolant que le béton et sa mise en œuvre génère moins de ponts thermiques qu’une construction en maçonnerie. La moitié des bâtiments certifiés « Passivhaus » en France ont été réalisés en ossature bois. À emprise égale, la construction bois gagne de 4 à 6 % de surface utile, grâce à l’épaisseur de ses murs, soit 8 m2 supplémentaires pour une surface brute de 120 m². Une construction responsable utilise le bon matériau au bon endroit.
Le bois se marie parfaitement avec le béton, le verre, l’acier, la pierre ou la terre, en neuf comme en rénovation.
10. Un fort capital sympathie
Le bois bénéficie aujourd’hui d’un capital de sympathie et d’une image de bien-être et de matériau citoyen. Les occupants vivent bien dans le bois. Les biens sont moins dégradés. Le confort thermique perçu se traduit par moins de chauffage consommé. C’est un matériau sain qui régule l’hygrométrie ambiante naturellement.
C’est un matériau apaisant, antistress qui génère moins de problèmes respiratoires. Les écoles et crèches en bois favorisent la concentration et le calme aux dires de leurs occupants. Le développement de ce type de bâtiments en témoigne !
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